Mon été au musée
Mon été au musée
Par Laurence LeBlanc Côté
Mon été au Musée acadien de l’Université de Moncton a été bien chargé,
mais rempli de plaisirs. J’ai pu apprendre beaucoup sur l’histoire acadienne
ainsi que celle de l’Université de Moncton.
Je peux maintenant donner des
visites guidées de l’exposition permanente « L’Aventure acadienne »
et de l’exposition temporaire « Par et Pour » ainsi que la visite guidée
historique du campus de l’Université de Moncton. Autre que les tâches
habituelles pour une Guide-animatrice comme moi, j’ai donné quelques ateliers
en ligne au sujet de la musique acadienne, j’ai rédigé une fiche de lecture
pédagogique au sujet de la légende de Cy à Mateur, j’ai fait des activités et des
bricolages pour les jeunes et j’ai conçu des affiches pour les activités de la
semaine.
Mes douze semaines ici au musée m’ont aidé à retrouver mon sens
d’appartenance à la culture acadienne, je suis une LeBlanc après tout. Ces
semaines m’ont également aidé à me sentir à la maison à Moncton puisque je
viens tout juste de déménager ici pour ma deuxième année universitaire.
Finalement, mon expérience au musée m’a fait vivre des moments inoubliables
avec des gens que je n’oublierai jamais.
Laurence LeBlanc Côté, âgée de 19 ans, a déménagé à plusieurs reprises d’une
ville à l’autre au Nouveau-Brunswick, mais elle dit venir de Edmundston puisque
c’est là où elle a vécu le plus longtemps et où elle a gradué de son secondaire
à la Cité des Jeunes A.-M.-Sormany en 2020. Le Musée acadien de l’Université de
Moncton est son troisième musée pour lequel elle travaille; elle a aussi travaillé
au Fortin du Petit-Sault, une reconstruction d’un fort britannique lors de la guerre
de l’Aroostook et au musée du Réel au miniature, un musée qui présente
l’histoire des voies ferrées au Nouveau-Brunswick. Laurence est actuellement étudiante
au programme du baccalauréat multidisciplinaire en sociologie, philosophie et
littérature à l’Université de Moncton débute sa deuxième année. Elle peut
utiliser ses domaines d’étude dans son travail au musée et elle réussit
également à faire des liens entre l’histoire acadienne, comme racontée dans
l’exposition permanente « L’aventure acadienne », et ses
apprentissages universitaires.
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